Mutations et restructurations des territoires

Le train a besoin d’espace. Aux expropriations s’ajoutent les annexions de nouveaux territoires. Bordeaux s’étend développant même son propre réseau de circulation mêlant désormais indifféremment train, tramway et automobile. Le paysage urbain s’en trouve bouleversé.

Le train facilite l’exode rural et attire de nouveaux résidents : la population bordelaise croît régulièrement, passant de 99.062 habitants en 1831 à 258.348 en 1936.

Cheminots, employés, ouvriers, commerçants, artisans s’installent dans des quartiers repensés autour des gares.


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