Hydrothérapie

À partir de la seconde moitié du XIXe siècle, la santé des individus devient à la fois une considération individuelle et une préoccupation collective et sociétale. Dans ce siècle de progrès scientifique et industriel, l’hygiène doit prévenir les maladies et enrayer leur propagation. C’est tout l’enjeu des vertus thérapeutiques de l’eau.  Au fil des années, les soins prophylactiques à base de l’eau se diversifient en ville : hydrothérapie, bains turco-romains, thermalisme, balnéothérapie. Si la Société des Bains des Quinconces propose dès 1826 certaines pratiques, d’autres établissements se spécialisent, comme les Bains de Ségur (1808), les Bains Saint-Nicolas (1834) et surtout l’Institut Longchamps (1860). D’autres laissent encore aujourd’hui un témoignage en ville. C’est le cas des Bains de la rue Notre-Dame (1894), ou bien encore du Hammam de la rue Vital-Carles, (1895) …


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